Les sulfamides hypoglycémiants occupent aujourd’hui une place de choix dans les recommandations françaises. Ils sont ainsi positionnés après la metformine dans la stratégie thérapeutique préconisée par la HAS (1). Ce choix est justifié par l’efficacité de cette association, son faible coût et le recul dont nous disposons quant à ces molécules. Mais à l’heure des âpres discussions avec les autorités de santé pour la commercialisation de nouvelles classes thérapeutiques pour lesquelles sont exigées de solides données d’efficacité, d’évaluation médico-économique et surtout de sécurité cardiovasculaire, qu’ont démontré les sulfamides ? Faut-il revoir leur positionnement ?
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