D’abord, il a été observé, rapidement, dans les premières études chinoises sur le coronavirus, une augmentation importante des D-dimères chez les patients. Ce sont des produits de la dégradation de la fibrine qu’il faut doser quand il y a une suspicion de thrombose ou d’embolie pulmonaire car il s’agit d’un marqueur d’activation de la coagulation. Puis, suite aux premiers signaux, des études ont montré que chez les patients qui ne survivaient pas, le taux D-dimères était particulièrement élevé ; c’est-à-dire qu’il y avait une augmentation biologique de ce marqueur associée à une mortalité plus élevée.
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