S’il est reconnu et établi maintenant que l’activité physique est bénéfique en tous points pour le patient diabétique de type 2, en revanche, jusqu’à ces dernières années des doutes subsistaient sur les bienfaits de l’exercice lors d’un DT1. Les hypoglycémies générées par le travail musculaire, les fluctuations glycémiques selon le type d’activités (anaérobie, mixte ou aérobie), les resucrages inerrants à tout effort long et intense, les perturbations hormonales (cortisol, catécholamines, glucagon…) en rapport avec les conditions d’entraînement, semblaient autant d’obstacles à l’équilibre et à la stabilité glycémique.
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