« J’ai entendu dire qu’on pouvait l’éviter », « Tu n’as pas l’air d’avoir un diabète », « Un dessert ne te tuera pas »… Les résultats d’une nouvelle enquête et une vidéo mettent en évidence comment des remarques du quotidien comme celles-ci, souvent anodines en apparence, peuvent affecter les personnes vivant avec un diabète. Elles peuvent devenir un frein à une prise en charge sereine et autonome de la maladie. Cette étude a été menée sur plus de 2 600 personnes vivant avec un diabète dans huit pays (dont la France). Elle montre que la honte et la peur du jugement peuvent empêcher ces personnes d’accéder aux soins dont elles ont besoin, avec des conséquences directes sur leur santé. En effet, près de 70 % des personnes interrogées disent qu’il existe des préjugés liés au diabète, 85 % déclarent avoir constaté des informations inexactes sur le diabète dans les médias (TV, films, réseaux sociaux) et 40 % estiment que le diabète fait souvent l’objet de blagues. Ainsi, près d’une personne sur quatre a choisi, par gêne pu par inquiétude, de ne pas en parler à sa famille ou à ses amis et 40 % ont déjà annulé ou manqué un rendez-vous médical par honte ou peur du jugement. En revanche, près de 7 personnes sur 10 interrogées estiment que des commentaires bienveillants de la part des autres peuvent renforcer considérablement leur motivation à prendre en charge leur maladie.
La campagne #DiabeteEtPrejuges, lancée par Abbott, vise à aider chacun à voir le monde à travers le regard d’une personne vivant avec un diabète. Cette démarche s’inscrit dans un mouvement collectif, soutenu par des associations de patients, des organisations spécialisées dans le diabète et des experts engagés, qui œuvrent ensemble pour faire reculer les préjugés et favoriser une société plus inclusive.
Pour en savoir plus sur la campagne « Au-delà des préjugés » et découvrir la vidéo, rendez-vous sur : www.diabeteetprejuges.fr.
MC d’après le communiqué d’Abbott du 14 octobre 2025.

