Glycémie élevée et neurodégénérescence cornéenne : l’étude de Maastricht
La neuropathie diabétique se traduit sur la cornée par des altérations précoces des petites fibres nerveuses bien objectivées en microscopie confocale cornéenne. L’objectif de cette étude hollandaise était d’évaluer le lien entre les taux de glucose et leurs effets sur les fibres nerveuses cornéennes.
Méthode
Les patients
L’analyse, fondée sur la population de la Maastricht Study, regroupait 3 471 patients (âge moyen : 59,4 ans : 48,4 % d’hommes ; 14,7 % atteints de prédiabète1 ; 21 % de DT2).
1. Incluant l’intolérance aux hydrates de carbone (glycémie à jeun < 1,26 g/l et glycémie à 2 h entre 1,40 et 2,0 g/l) et l’hyperglycémie à jeun (glycémie à jeun entre 1,10 et 1,25 g/l et glycémie à 2 h < 1,40 g/l).
Les mesures
L’objectif de cette étude était de découvrir de potentielles associations entre les lésions nerveuses cornéennes et le métabolisme glucosé (prédiabète et DT2 versus métabolisme normal du glucose) ou les mesures de la glycémie (à jeun et post-charge de 2 heures, HbA1c, autofluorescence cutanée et durée du diabète).
Les résultats sont présentés sous forme de Z-score des mesures sur les fibres nerveuses cornéennes (densité des branches nerveuses cornéennes, densité des fibres, longueur des fibres et dimension fractale).
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