La tolérance cardiovasculaire de la sitagliptine chez des diabétiques de type 2 ayant une maladie cardiovasculaire
Lors d’une réunion organisée par les laboratoires MSD, les Professeurs Bernard Charbonnel (Nantes) et Michel Komajda (Paris, La Pitié) ont fait un point sur le problème de la tolérance cardiovasculaire des antidiabétiques oraux en général et des inhibiteurs de la DPP-4 en particulier.
À la suite de la constatation d’un excès de risque cardiovasculaire (infarctus du myocarde, AVC, insuffisance cardiaque) sous rosiglitazone et de sa suspension en Europe, les grandes agences de santé (FDA et EMA) avaient rappelé que les antidiabétiques devaient certes réduire la glycémie et l’HbA1c, mais sans risque cardiovasculaire et que, même en l’absence de signal initial, de grandes études post-commercialisation devaient être conduites pour étudier la tolérance cardiovasculaire à long terme.
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