Rôle des myokines
L’activité physique atténue le risque cardiométabolique. À l’inverse, la sédentarité favorise le développement de maladies chroniques. Ces observations ont conduit au concept que l’exercice, en stimulant la contraction musculaire, participe au maintien de l’équilibre énergétique. Il est maintenant bien établi que le muscle squelettique, via la sécrétion de facteurs endocrines, communique à distance avec différents organes clés du métabolisme énergétique. Des avancées récentes ont mis en évidence l’existence de myokines capables de réguler la mobilisation des lipides du tissu adipeux, la sécrétion d’insuline ou encore d’activer la thermogenèse. Ce nouveau paradigme propose une base moléculaire pour expliquer le lien existant entre inactivité physique et maladies chroniques. Nous décrirons dans cet article les principaux effets métaboliques des myokines induites par l’exercice physique.
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