L’obésité hypothalamique est une complication fréquente et grave du traitement des craniopharyngiomes. Sa physiopathologie est complexe faisant intervenir, en plus des lésions des noyaux hypothalamiques impliqués dans la prise alimentaire, des troubles de la sécrétion de l’insuline mais aussi une diminution de la dépense énergétique. Cette physiopathologie complexe explique, pour une part, la difficulté de prise en charge de cette obésité qui est particulièrement résistante aux règles hygiéno-diététiques. Les approches pharmacologiques sont jusque-là restées peu convaincantes. Des perspectives intéressantes pourraient être représentées par les analogues du Glucagon Like Peptide-1 (GLP-1). Cette obésité particulière doit, dans tous les cas, conserver toute notre attention tant pour la compréhension des mécanismes physiopathologiques que pour sa prise en charge.
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