Quels liens entre sommeil altéré et troubles du métabolisme ?
Dans nos sociétés modernes, le sommeil, loin d’être considéré comme une période naturelle de repos, est devenu un temps non rentable qu’il convient de réduire au strict minimum. Ainsi, en une génération, la durée moyenne de sommeil a été diminuée d’une heure, si bien que près d’un tiers de la population américaine dort moins de sept heures par nuit (1). En parallèle de cette diminution de sommeil, la prévalence de l’obésité et du diabète ne cesse d’augmenter, et les causes de ce fléau mondial ne semblent pas se limiter à de mauvaises habitudes alimentaires. Implicitement, il semble donc exister un lien entre le métabolisme du glucose et le sommeil, que ce soit en termes de quantité ou de qualité.
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