Entre 70 et 90 % des cas de diabète de type 2 (DT2) pourraient être évités si tout le monde adoptait un régime alimentaire et un mode de vie sains. Le lien entre alimentation et diabète est bien connu et les principaux facteurs de risque nutritionnels ont déjà été identifiés. Mais alors, pourquoi est-ce que nos connaissances actuelles ne permettent-elles donc pas d’enrayer l’épidémie du DT2 ? Cela peut en partie s’expliquer par la difficulté à transférer les connaissances épidémiologiques en recommandations efficaces et adaptées aux bonnes personnes. Ainsi, afin de bien identifier les populations à risque sur lesquelles agir en priorité, il y a un besoin de mieux caractériser l’alimentation et le mode de vie de ces individus, en fonction notamment de leur environnement socio-économique. Enfin, si l’effort d’améliorer la prévention primaire du DT2 doit être maintenu, en intégrant notamment le potentiel des nouvelles technologies, la prévention tertiaire afin d’éviter les complications du diabète doit être également développée.
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