Une étude canadienne révèle que taxer les aliments mauvais pour la santé aurait un effet moins marqué sur les choix alimentaires des consommateurs que les messages de prévention accolés aux produits. Pire encore : les moins sensibles à la taxation seraient les personnes dont l’IMC serait le plus élevé. Ainsi, une taxe de 20 % sur la malbouffe permettrait de réduire l’apport quotidien de 35 à 40 calories, alors qu’une réduction de 10 % des prix des collations faibles en gras vendues dans 55 machines distributrices ferait monter les ventes de 9 % et atteindrait une hausse de 93 % si leur prix était réduit de moitié…
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