La prévalence du pré-diabète ne cesse d’augmenter, surtout après 60 ans, comme le montrent les figures 1 et 2. Cette évolution régulière est mondiale. Il est admis depuis 2011, après la publication d’une méta-analyse compilant 50 études, que le taux moyen de glucose chez un pré-diabétique le positionne avec un odd ratio supérieur à 1 par rapport à un non diabétique en ce qui concerne le risque de mort par maladie cardiovasculaire (Fig. 3). Il y aurait un lien entre le taux de HbA1c et le risque cardiovasculaire dès ce niveau de glycémie.
Figure 1 – Prévalence du pré-diabète.
La question qui intéresse les intervenants dans cette cession sur le pré-diabète à l’EASD est la suivante : le pré-diabète entraîne-t-il des anomalies microvasculaires ? Et, par conséquent, est-il pertinent de rechercher une atteinte microvasculaire, multi-organique dans le pré-diabète ?
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