Les patients diabétiques ont une rigidité artérielle accrue par rapport aux patients non diabétiques (1). La traduction clinique de cette rigidité artérielle accrue est une pression artérielle systolique plus difficile à contrôler. Plusieurs méta-analyses ont montré qu’il était rare que les cohortes de patients diabétiques de type 2 inclus dans des essais thérapeutiques évaluant des antihypertenseurs aient une pression artérielle systolique moyenne inférieure à 140 mmHg (2). On considère qu’environ 50 % des diabétiques présentent une hypertension artérielle et ont donc une indication à l’instauration d’un traitement antihypertenseur.
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