C’est ce qu’affirme l’équipe de l’américaine Melinda Beck dans un article publié fin octobre dans le Journal of Obesity. L’étude en question s’est intéressée à 461 personnes vaccinées contre la grippe et a permis de remarquer que l’immunité obtenue est nettement moins bonne dans la population obèse. En effet, les résultats ont montré qu’après 11 mois, la moitié des personnes obèses présentait des taux d’anticorps 4 fois moins élevés. Ce “déficit” en anticorps n’était pourtant observé que chez le quart des personnes de poids normal. Les chercheurs ont conclu que la durée d’efficacité du vaccin serait moins longue chez les obèses. Pour le Pr Beck, ces données doivent aujourd’hui « nous inciter à trouver des solutions » pour cette population plus fragile.
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