À force de ne pas les prescrire, j’oublie qu’il pourrait y avoir des traitements pharmacologiques de l’obésité. Hormis l’orlistat (et son cousin Alli®), la France est dans une situation exceptionnelle et se situe entre les États-Unis où la Food and Drug Administration (FDA) autorise la phentermine, l’association phentermine/topiramate, la lorcaserine, l’association bupropion/naltrexone et le liraglutide, et l’Europe où l’Agence européenne des médicaments (EMA) a autorisé les mêmes médicaments sauf lorcaserine et l’association phentermine/topiramate. Pourtant, l’innovation est riche. Cette mini-revue fait le point sur les drogues développées et celles en développement.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Diabète & Obésité.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux catégories d'articles exclusives
- Les newsletters mensuelles
- Votre historique de commandes en ligne