Depuis quelques années, différentes études (1-3) ont tenté d’associer néphropathie diabétique et stéatose hépatique sans apporter de conclusions très claires. La plupart des publications arguent de facteurs de risque communs tels que dyslipidémies, artériopathie, obésité omentale et facteurs thrombotiques inflammatoires, sans faire de vrai lien… Une équipe coréenne s’y est intéressée en suivant pendant 13 ans une importante cohorte de patients diabétiques de type 2.
La stéatose hépatique non alcoolique
Si la NAFLD (stéatose hépatique non alcoolique) peut affecter près de 30 % de la population générale, elle intéresse entre 60 et 70 % des patients diabétiques et/ou obèses. Elle est donc de découverte fréquente et ses potentialités évolutives graves, telles que la fibrose avancée ou la cancérisation, méritent un suivi régulier.
L’étude
Des chercheurs de l’université de Séoul ont ainsi analysé, de 2003 à 2016, les évolutions hépatiques et rénales délétères d’une cohorte de plus de 3 000 patients diabétiques de type 2.
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