Un symposium consacré à la prise en charge différenciée selon le sexe des patients a révélé, outre une moindre prise en charge des événements cardiovasculaires chez la femme, fait déjà connu, une altération plus grande de la qualité de vie chez celles-ci.
Le mode de vie
Le Pr Kautzky-Willer avait déjà rapporté, en 2016 (1), que le fardeau global de la maladie, qui pourrait être expliqué par le mode de vie, mais également les complications
musculo-squelettiques, la dépression et l’anxiété, ainsi que la dégradation cognitive surviendraient plus souvent chez les femmes. Des facteurs socio-
économiques, et en particulier le stress psychosocial, semblent avoir plus d’influence sur les complications du diabète chez les femmes.
Les facteurs physiopathologiques
Le Pr Jürgen Harreiter, de Vienne, a analysé les différents facteurs physiopathologiques de cette différence homme/femme.
La moindre efficacité de certaines interventions
La moindre efficacité de certaines interventions, comme les statines, les bêtabloquants, l’aspirine, a été retrouvée dans certaines études. A contrario, les interventions portant sur le mode de vie, comme l’étude Da Qing, seraient plus efficaces chez les femmes (2).
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