Depuis quelques années, le tube digestif est devenu un second cerveau, sécréteur d’hormones et de neurotransmetteurs, capable d’interférer dans les métabolismes les plus intimes des macronutriments, d’inter-agir dans la neurotransmission des signaux de faim, de satiété ou encore sur le métabolisme du tissu adipeux. Le rôle des incrétines est sans doute à la fois surestimé, quand il s’agit de régulation glycémique, car le métabolisme intestinal des glucides joue un rôle propre dans la régulation glycémique et sousestimé quant aux effets pléiotropes dont certains sont sans doute encore inconnus. En dehors des effets potentialisateurs d’insulinosécrétion, les incrétines semblent jouer bien d’autres rôles, en partie révélés par le court-circuit intestinal, mais également par la nutrition artificielle.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Diabète & Obésité.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux catégories d'articles exclusives
- Les newsletters mensuelles
- Votre historique de commandes en ligne